Marcel Valenzano (1943 - 2008)
Il y aurait tant à raconter qu'on pourrait en écrire un livre.C'est difficile de commencer, mais allons-y...
Commençons par ses défauts, ça nous laissera plus de place pour le reste : Râleur, ronchonneur, une mauvaise fois à toute épreuve, égocentrique diront ceux qui ne le connaissaient pas, grande gueule pour ceux qui le connaissaient pas du tout. Voilà, c'est fait.
Pour le reste, ça relève presque de l'intimité...il fallait juste gratter un tout petit peu...
Époux exigeant mais très aimant, papa parfois un peu dur, mais juste et très fier de son fils, beau-père attentionné, grand-père raide dingue de ses trois doudous, beau frère, tonton, "grand-oncle" comme les jeunes aimaient à l'appeler, tout ça faisait de lui un être des plus attachants pour nous tous. Et comme il disait depuis quelques années, avec son humour bien à lui : priorité à la famille.
Ce qui, aujourd'hui, va nous manquer le plus, sera de ne pas lever nos verres avec lui pour l'apèro. Mais demain, après-demain, il va nous manquer tout court.
Nos discussions à n'en pas finir, nos repas à rallonge, ces inimitables couscous, nos mercredis à l'Oubliette, ces après-midis au chalet où, partant faire une sieste, il nous disait aller méditer sur notre sort... Ces chansons (il avait une belle voix pour écrire), chansons toujours commencées et jamais finies. Son célèbre "Si toi aussi tu m'abandonnes...", aujourd'hui, il est d'actualité. Ou encore ses mémorables journées de pêche sur ce lac qu'il aimait tant.
Il naos a tellement fait rire un où jour il nous disait : Sur ma tombe, je veux que vous plantiez un entonnoir avec un petit capuchon de cuivre par-dessus (pour pas qu'il y ait d'eau dedans), que vous veniez me verser une bouteille de blanc de temps à autres et que, et que sur la pierre tombale soit écrit : Sa vie était une longue fleuve de Chardonne...tranquille...
Tu seras toujours avec nous, dans nos coeurs, et rien ne changera rien. Ça a été un bonheur de faire tout ce chemin à tes côtés.
Ta famille.
Commençons par ses défauts, ça nous laissera plus de place pour le reste : Râleur, ronchonneur, une mauvaise fois à toute épreuve, égocentrique diront ceux qui ne le connaissaient pas, grande gueule pour ceux qui le connaissaient pas du tout. Voilà, c'est fait.
Pour le reste, ça relève presque de l'intimité...il fallait juste gratter un tout petit peu...
Époux exigeant mais très aimant, papa parfois un peu dur, mais juste et très fier de son fils, beau-père attentionné, grand-père raide dingue de ses trois doudous, beau frère, tonton, "grand-oncle" comme les jeunes aimaient à l'appeler, tout ça faisait de lui un être des plus attachants pour nous tous. Et comme il disait depuis quelques années, avec son humour bien à lui : priorité à la famille.
Ce qui, aujourd'hui, va nous manquer le plus, sera de ne pas lever nos verres avec lui pour l'apèro. Mais demain, après-demain, il va nous manquer tout court.
Nos discussions à n'en pas finir, nos repas à rallonge, ces inimitables couscous, nos mercredis à l'Oubliette, ces après-midis au chalet où, partant faire une sieste, il nous disait aller méditer sur notre sort... Ces chansons (il avait une belle voix pour écrire), chansons toujours commencées et jamais finies. Son célèbre "Si toi aussi tu m'abandonnes...", aujourd'hui, il est d'actualité. Ou encore ses mémorables journées de pêche sur ce lac qu'il aimait tant.
Il naos a tellement fait rire un où jour il nous disait : Sur ma tombe, je veux que vous plantiez un entonnoir avec un petit capuchon de cuivre par-dessus (pour pas qu'il y ait d'eau dedans), que vous veniez me verser une bouteille de blanc de temps à autres et que, et que sur la pierre tombale soit écrit : Sa vie était une longue fleuve de Chardonne...tranquille...
Tu seras toujours avec nous, dans nos coeurs, et rien ne changera rien. Ça a été un bonheur de faire tout ce chemin à tes côtés.
Ta famille.
Quand on te rencontrait pour la première fois, t'étais un homme si facile à détester... pendant les premières minutes...!
Arrogant, t'avais toujours raison, moqueur, et les fions partaient de tous les côtés dans toutes les directions.
Puis tu souriais, tu rigolais, tu te moquais de toi-même, tu disais une bêtise après l'autre et ...c'était gagné. On t'aimait inconditionnellement. Tu vas nous manquer Marcel. Un bon vaudois dirait "je t'aimais bien". Mais comme tu me disais souvent que je suis un vaudois à cinq'sous, je me permets de te dire que "je t'aimais". T'étais le roi des bon types.
Jean-Louis
Arrogant, t'avais toujours raison, moqueur, et les fions partaient de tous les côtés dans toutes les directions.
Puis tu souriais, tu rigolais, tu te moquais de toi-même, tu disais une bêtise après l'autre et ...c'était gagné. On t'aimait inconditionnellement. Tu vas nous manquer Marcel. Un bon vaudois dirait "je t'aimais bien". Mais comme tu me disais souvent que je suis un vaudois à cinq'sous, je me permets de te dire que "je t'aimais". T'étais le roi des bon types.
Jean-Louis